Les résultats de l’enquête sur la place de l’animal en ville.

Merci aux 479 personnes qui ont répondu aux 22 questions de l’enquête. Vos contributions seront déterminantes dans l’élaboration d’un guide en faveur d’une juste place en ville pour l’animal sauvage, commensal et domestique.

Vous trouverez ci-après un résumé de ce que vous nous avez appris.

• Vous êtes 60 % à penser que l’animal fait peu ou pas partie de la ville alors que vous êtes 65 % à estimer qu’ils y seraient partout à leur place.
• De fait, l’animal en ville est déjà une réalité : vous êtes 68 % à en croiser au moins un, plus de 10 fois au cours de la semaine.
• Vous êtes très partagés sur l’évolution des interactions entre l’être humain et l’animal : 28 % d’entre vous pensent qu’elles restent stables, 22 % qu’elles diminuent et 25 % qu’elles augmentent. Quel que soit leur niveau d’occurrence, elles sont généralement bienveillantes.
• Quand on évoque l’animal en ville, vous pensez d’abord au chien, puis au chat et aux oiseaux ; le rat ne vient qu’en 6ième position, juste après les déjections qui restent malgré tout une préoccupation.
• Les interactions avec le chien sont, de loin, les plus nombreuses (84 %). On notera les mentions d’interactions avec les insectes (14 %), le rat (13 %) et le renard (10 %).
• Votre image de l’animal en ville est contrastée : le chien peut être aussi bien adorable qu‘agressif, le pigeon sera mignon, nuisible ou souffrant. Seul le renard, beau et sauvage, plus rarement dangereux, fait l’unanimité.
• Votre acceptation de l’animal en ville est notable, aussi bien dans votre quartier que chez vous (tableau). Vous êtes plus de 80 % à l’observer.

Paris Est Marne & Bois et le Museum National d’Histoire Naturelle vont élaborer un projet de guide. Vous pourrez participer à sa finalisation au cours des ateliers qui se tiendront en deuxième quinzaine d’octobre.